Chap. 1.1 : L'Eveil des Sens - Chorale Machinale by NeoAvantis, literature
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Chap. 1.1 : L'Eveil des Sens - Chorale Machinale
Chapitre 1.1
L’Eveil des Sens – Chorale Machinale
L’esprit de Théotime émergeait lentement de la torpeur, le corps gelé et avec un profond mal de crâne. Ses yeux restaient de glace si bien qu’il ne pouvait pas même les entrouvrir. Son corps lui, était tel un bloc de givre, il ne parvenait pas à se mouvoir et ne ressentait rien, sinon l’impression atroce d’être enfermé dans une prison charnelle et à jamais paralysé. Ses pensées elles-mêmes privées de tous les sens possibles et destinées à demeurer ainsi pour l’éterni
Flora, Mon Amour...
Milles nuits dans mon cœur... Un rayon de lumière
Apportant le bonheur à ma vie tout entière...
Sous ton doux regard d’ange et sous tes attentions
Empoigné du mélange ardent de tes passions,
Un instant dans tes bras se trouvait idyllique,
Le second de cela me rendait euphorique…
Emporte-moi encore, O élégante amour,
Accepte ici d’éclore avec moi en ce jour,
Mélangeons nos espoirs, nos passions et nos rêves,
Ouvrons tout deux ce soir nos feux à la relève…
Un matin de caresse, une nuit sous tes mains,
Rien ne vaut ta tendres
A Mes Grands-Parents
Merci... Papi… Mamie… D’aussi loin que ma vie
Eveilla des Lamies les plus sombres envies,
Rien ne sut me défendre autant que vos deux âmes,
Conjointes pour pourfendre indûment tous mes drames…
Infatigablement, vous luttiez, calmement,
Pour chasser mes tourments et ainsi lentement,
Amener ma conscience à la paix salvatrice…
Pour m’armer de confiance et non de cicatrices…
Illuminant mes pas, tel du phare l’éclat,
Evitant mon trépas, vous étiez toujours là…
Toujours à me comprendre, à m’offrir assistance,
I Want...
I want a long tune in my ears,
I want a song to take my tears,
I want to reach her lovely arms,
I want to preach about her charms...
I want to feel like the first day,
I want to steal her heart away,
I want it mine for all my life,
I want a shine out of this strife...
I want to kiss her pretty face,
I want a bliss, just an embrace...
I want to see her forever...
Does she want me ? I Just want her...
Gallus Coburict - Rex Villaticae by NeoAvantis, literature
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Gallus Coburict - Rex Villaticae
Gallus Coburict - Rex Villaticae
Coburict… Etranger qui ne me connait point,
Tu sembles bien vexé par ces vers que j’ai joint,
A tel point que j’ignore ou s’en vont tes doux mots…
Te verrais-tu alors plus bas que mes propos ?
Je n’ai jugé personne, ni traité de putain,
D’autre que la mignonne au bien triste destin,
Celle pour qui j’écris, la seule qui m’importe :
« La Belle Poésie » qui me semble bien morte…
Elle admet sous son nom les déchets de vos âmes,
Jetés à l’abandon dans quelques vers infâmes,
Qui se
Historia Romana Mea ~ Sanguis Et Concupiscentia by NeoAvantis, literature
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Historia Romana Mea ~ Sanguis Et Concupiscentia
Historia Romana Mea ~ Sanguis Et Concupiscentia
Voici venu le temps de parler d’une fable,
D’un combat étonnant et même impitoyable,
Qui décida du sort d’à la fois Albe et Rome,
Et dont les vrais essors furent cachés des hommes.
Parmi tous les romains, résidaient les Horaces,
Des légendes que rien n’avait trouvé l’audace
De jamais menacer… On en faisait des dieux,
Des titans cuirassés, des géants victorieux…
En haut du Palatin, on choisit trois des leurs,
Pour mener les Albains à d’infinies douleurs.
Ce murmure de mort rejoignit
Historia Romana Mea ~ Nativitas by NeoAvantis, literature
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Historia Romana Mea ~ Nativitas
Historia Romana Mea ~ Nativitas
Il existe un récit où l’histoire romaine,
Commença endurcie d’un unique domaine.
On raconte que Mars entrevit l’au-delà
Dans les reflets épars des doux yeux d’Illia...
Furieux de ce destin, il saisit son épée,
Et traversa le sein maudit de son aimée,
Emportant dans la mort l’enfant nommé Remus,
Et sauvant du remord le pauvre Romulus...
Il est dit cependant que le dieu bienveillant,
Unit l’esprit mourant à celui du vivant,
Et que de cette union naquit le fier surhomme,
Qui imposa son nom à la citée de Ro
Sur la Toile du Temps
On est pas sérieux quand on est un enfant,
On se perd dans les jeux sans regarder le temps,
Qui bientôt nous saisit, tel la veuve à six pieds,
Dévorant de nos vies, les rêves mortifiés...